État
Complété (2011)
Lieu
Montréal, Québec, Canada
Programme
Restaurant
Équipe
Jean-Francois Marceau, Marie-Julie Rochon & Alain Carle
Crédit photo:
Dominique Lafond
Crédit photo:
Dominique Lafond
État
Complété (2011)
Lieu
Montréal, Québec, Canada
Programme
Restaurant
Équipe
Jean-Francois Marceau, Marie-Julie Rochon & Alain Carle
Crédit photo:
Dominique Lafond
Crédit photo:
Dominique Lafond
État
Complété (2015)
Lieu
Wentworth-Nord, Québec, Canada
Programme
Résidence Unifamiliale
Équipe
Jean-François Marceau, Christian Aubin, Alexandre Lemoyne, Isaniel Lévesque & Alain Carle
Le programme d'occupation de cette résidence a été fragmenté en quatre pavillons, selon un plan organique, dégageant un espace central donnant entièrement sur l'extérieur. Un peu à l’image du « cœur d’un village », cet espace relie les autres corps de bâtiments, géométriquement distincts les uns des autres. Les matériaux ont été en grande partie recyclés : les revêtements des murs intérieurs et extérieurs proviennent d'une scierie abandonnée, et le dallage de pierre a été récupéré d'une ancienne carrière. La maison donne sur le sud pour permettre un gain d’énergie passive qui, joint à un système de géothermie, assure l’efficacité énergétique de l'ensemble. C’est une architecture de terre, d’enracinement. La forme émerge du sol et son organicité renvoie à nos traditions rurales plutôt qu’aux canons modernistes.
Crédit photo:
James Brittain Photography
Crédit photo:
James Brittain Photography
État
Complété (2012)
Lieu
Montréal, Québec, Canada
Programme
Penthouse Résidentiel
Équipe
Alexandre Bernier, Jean-Francois Marceau, Marie-Julie Rochon & Alain Carle
Penthouse-A est un projet qui s’insère dans un édifice de condominiums, situé dans un ancien immeuble industriel aux abords du Quartier des Spectacles à Montréal. Nous avons choisi d’intervenir sur le lieu en y insérant des objets architecturaux qui se posent en dialogue avec l’existant : Esthétiser l’ancien par l’ajout du nouveau. Ainsi, tous ces nouveaux volumes et les nouvelles surfaces du projet sont physiquement détachés des composantes existantes, laissées à l’état brut. Tout semble ainsi en apesanteur, la condition d’habiter en hauteur : Une nouvelle surface de bois d’Ipé se glisse sous la structure de poutres de béton de l’ancien édifice, sans pourtant s’y accrocher. L’escalier lui, suspendu depuis la nouvelle structure de l’étage, flotte littéralement dans l’espace et ses courbes massives évoquent la fluidité du mouvement humain face à la lourdeur de la charpente de béton qu’il traverse. Les espaces privés de l’appartement sont dessinés par l’ajout d’une sorte de bloc de glace flottant (abritant douches, bains et wc). Situé au beau milieu de ces espaces, ce volume sculptural fait de surfaces de mosaïques et de pans de verre blanc, décompose et réfléchie la lumière du jour, se transformant en une sorte de lanterne géante lorsque vient la nuit.
Crédit photo:
Adrien Williams
Crédit photo:
Adrien Williams